L’horreur s’étale à longueur de journée dans les médias. « L’humanisme implique un engagement à la recherche de la vérité et, de la moralité par l’intermédiaire des moyens humains, en particulier les sciences, en solidarité avec l’humanité. »( définition wikipedia). J’essaie de faire de l’astrologie humaniste.
« Le but du zodiaque c’est d’amener de la lumiére dans la matière, de spiritualiser la matière » (Christian Drouaillet).
« Ils ont marché trente et une heure dans la neige depuis l’Afghanistan avec des petits bébés dans les bras, puis deux heures dangereuses de bateau dans une eau glacée, des embarcations en difficultés sur une mer houleuse. Ils arrivent dans l’île grecque de Lesbos. On les a parfois volé, certains n’ont plus rien. Des bénévoles se succèdent pour leur porter secours, soit dans les bateaux, soit pour offrir un repas à l’arrivée. Des associations font du tricot, pour offrir des vêtements chauds avant qu’ils partent pour marcher, à travers l’Europe. La nuit, ils dorment sur la plage en faisant des feux, même en Grèce, c’est l’hiver : 70 000 personnes s’entassent à la frontière de Skopje, qui vient de fermer.
Tout cela a un écho dans le ciel, Saturne en Sagittaire, c’est l’opprobre jetée sur les étrangers, la fermeture des frontières, le rejet, les limites, le repli sur soi, mille raisons. Saturne dans la mythologie mangeait ses enfants (les enfants de l’humanité) parce qu’il avait peur d’être détrôner. Saturne est le seigneur du karma, ça parle…
Saturne toute l’année fait un carré avec Neptune (dieu des mers) en Poissons (celui qui croit) et un autre carré avec Jupiter (le protecteur), en Vierge (celle qui sait ce qu’il faut faire, mais qui doute).
Neptune et Jupiter (dieux des Poissons) en oppositions l’une à l’autre , sont conjointes à l’axe des nœuds sud et nord : n’est-ce pas le reflet de ce problème insoluble ? Cela nous ramène sur le plan personnel à ces discours sur les religions, notre rapport avec le collectif, nos responsabilités collectives, au prix que nous attachons à nos valeurs individuelles et collectives, à nos peurs et à nos ombres.
Un des sauveteurs est un homme de télévision d’Europe du nord, il a amené un food-truck pour faire des repas : il est arrivé pour un mois en novembre et, il est toujours là en Février. »
Et nous que faisons nous ? Si nous avions devant nous un enfant qui a besoin d’aide, nous l’aiderions instinctivement, parce que nous faisons partie de la même humanité alors, devant des milliers d’enfants qui ont besoin d’aide, qu’allons-nous faire ?
La situation est la suivante : où bien nous augmentons notre karma collectif, en nous conduisant sans pitié, ce qui ne tardera pas à nous retomber dessus d’une manière ou d’une autre puisque toute situation est porteuse de karma – ou bien, nous apportons notre aide avec humanité, dans une situation qui nous ramène aux guerres européennes : fuites des populations arméniennes, juives, etc ,qui entre nous soi-dit, ont toutes été absorbées par l’Europe, sans pour cela changer quoi que ce soit à nos us et coutumes.