Michel Barnier vient d’être nommé premier ministre. Cette analyse ne reflète en rien une opinion politique étant donné qu’il s’agit d’une analyse astrologique du caractère personnel, accompagnée d’une biographie tirée de wikipédia . On peut aussi lire ses origines dans l’ensemble savoyardes, dans Généanet, le site très sérieux de généalogie.
On ne pourra pas lui reprocher de ne connaitre que quatre arrondissements de Paris, l’accuser de parisianisme, même si des critiques commencent à fuser.
« Michel Barnier, né le 9 janvier 1951, à Grenoble, à 16 h 40, a été par deux fois commissaire de la Commission Européenne, négociateur du Brexit pendant 4 ans, face à Théresa May et à Boris Johnson.
Candidat, gaulliste depuis toujours, plusieurs fois ministre de Jacques Chirac (Environnement, Affaires européennes, Affaires étrangères, Agriculture et Alimentation), son expérience politique est importante puisqu’il entre directement en politique dès sa sortie en 1972, de l’École Supérieure de Commerce de Paris, à 21 ans.
« Il est successivement chargé de mission au cabinet de Robert Poujade, ministre de l’Environnement (1973-1974), conseiller général de Savoie pour le canton de Bourg-Saint-Maurice (1973-1999), chargé demission au cabinet de Pierre Mazeaud, secrétaire d’État chargé de la Jeunesse et des Sports (1974-1976), conseiller technique au cabinet d’Antoine Rufenacht, secrétaire d’État auprès du Premier ministre (1976-1977), puis secrétaire d’État au Commerce et à l’Artisanat (1977-1978). Il est élu député de la Savoie à l’issue des élections législatives de 1978. À 27 ans, il fut le plus jeune député dans l’hémicycle. Actuellement ce n’est plus le cas , il fait figure de dinosaure face à tout ces jeunes, à peine trentenaires notamment Bardella, qui a l’âge qu’il avait quand il a commencé. »
« En 1982, afin de reprendre le Conseil Général de la Savoie à la gauche, une entente politique prenant le nom « d’Union pour la Savoie » entre la droite et le centre est passée, sous l’égide, entre autres, de Michel Barnier, et procède à la distribution des investitures aux cantonales. Dès son élection à la présidence du Conseil Général, en , Michel Barnier s’engage avec le triple champion olympique Jean-Claude Killy dans la candidature et l’organisation des XVIe Jeux olympiques d’Albertville et de la Savoie, qui auront lieu en 1992. »
« Michel Barnier engage dès 1986, une politique de protection de l’environnement en Savoie et publie le rapport parlementaire Chacun pour tous et cent propositions pour l’environnement (éditions Stock, 1990). Il est nommé ministre de l’Environnement du gouvernement Balladur en , et fait voter entre autres la loi Barnier, qui comprend notamment la création de la Commission nationale du débat public pour les grands projets d’infrastructures et, instaure le début du principe de précaution. »
« En 1995, alors qu’il est au gouvernement, il est élu sénateur de la Savoie. Il est réélu en 1997 et quitte le Sénat après sa nomination comme commissaire européen en 1999. »
« Son expérience à Bruxelles lui a permis de voir l’envahissement progressif de la Cour européenne, dans la vie des nationaux : il se dresse maintenant en défenseur des droits des états, face aux dérives européennes qui menacent la souveraineté de la Justice des pays d’Europe. D’autre part, il se déclarait en opposition avec certaines des options des Verts français. »
« Il s’affirme pour une lutte contre l’insécurité grandissante, et le renforcement de la laïcité, en tant que candidat L.R, (5% aux dernières élections) il souscrit à une politique sévère face aux migrants, en promettant de réguler leur flux pendant trois à cinq ans, par une politique migratoire contenue, et organisée. Mais il se veut apaisant. »
Quel est son thème natal ?
Soleil en Capricorne, angulaire en MVII (analogie avec la Balance : les autres), il a un AS Cancer (signe de la famille et de la patrie), avec Uranus sur l’AS côté MXII opposé Soleil.
La Lune en Verseau conjointe à Mars (comme N. Sarkozy) en MVIII (analogique à Scorpion) indique la vivacité, dans le signe de la liberté , (mais dans la maison puissante analogique au Scorpion), elle indique la vivacité, mais aussi une certaine agressivité envers l’autre, la capacité à se faire des ennemis mais aussi à se battre, tempérée par Vénus. Il cache ses émotions, qui sont fortes ; l’amas opposé à Pluton, le pousse à la réussite de l’action à n’importe quel prix, jusqu’à l’épuisement des forces. C’est un aspect de grandes ressources, de régénération. Vénus tempère la brusquerie d’un caractère sans détours, sous des dehors tempérés et même froids.
Saturne, maître du Soleil, est en MIV en Balance exalté dans ce signe de justice, la MIV étant équivalente au signe du Cancer ( éducation stricte, parents sévères).
Pour plus d’un trait, c’est un uranien, avec Uranus sur l’ascendant, qui plus est, trigone à la planète Jupiter sur le MC en Poissons (exaltation des aspects diurnes du Poissons), conjointe au nœud nord en MX, qui est la place de ceux qui ont un rôle à jouer dans la société. C’est une personnalité capable de se remettre en question, et de comprendre les enjeux, rompue à la négociation.
La planète Mercure, responsable de la communication, régent karmique du nœud sud en Vierge est carrée à Saturne et cependant opposée à Uranus, Saturne étant carré à Uranus : on a donc une personne (aspect avec Uranus) , innovante mais obstinée (Uranus et Mercure carré Saturne), qui montre qu’elle peut s’opposer dans les négociations les plus dures, qui sont souvent stoppée au niveau du changement, à cause des carrés à Uranus, de même que son Mars (l’action) opposé à Pluton, la transformation, aspect assez dur. Mercure carré croissant à Saturne doit se distinguer dans l’action, et peut s’apprêter à subir des revers.
Le Soleil carré croissant Neptune (idéalisme utopique), mène à la désillusion, mais par progression, ne l’est plus à 70 ans, il est au MC, où se situe Neptune de transit qui passera en Bélier en 2025. Mars en transit pendant six mois en Cancer, se place sur son AS, et bientôt Pluton sur sa Vénus.
Les saturniens très différents des uraniens sont perçus comme des êtres sérieux et responsables, faisant passer les autres avant eux, avec un sens chevillé au corps de leurs obligations et responsabilités. Son AS en Cancer, tempère la sévérité de Saturne au FC, et son Uranus sur l’ascendant et les trois planètes personnelles en Verseau, lui donneront l’audace et la témérité des gens qui sont capables d’inventer des solutions , permettant de s’adapter à cette période particulièrement déroutante avec l’endurance due à l’expérience. Michel Barnier voit la conjonction nœud sud, Lune, Vénus, lune noire dans sa MIV qui marque un début et une fin, alors que Macron a la Lune qui passe sur son Pluton -nœud nord en MVIII, qui marque une fin, en tout cas une transformation !
Sa généalogie : Branche du grand-père paternel : Comme pour bon nombre de montagnards, ici en Isère, les générations les plus proches de nous sont “descendues” de leurs villages pour se rapprocher des villes. Le grand-père de Michel Barnier, François Jules (1880-1965) est ainsi né à Grenoble, d’un père venu de Saint-Étienne-de-Crossey, un village, avec une altitude variant entre 370 et 884 mètres. C’est là que l’on remonte la généalogie des Barnier jusqu’à Jean Claude, né vers 1620 et décédé dans cette commune en 1680. On ne connaît les différents métiers des Barnier que depuis Pierre (1774-1852), fermier du hameau de Tolvon. En remontant les branches par les différentes unions, on s’éloigne relativement peu de Saint-Etienne de Crossey : . Les professions sont assez variées : un couple de cafetiers, des jardiniers, des vignerons, un cordier, des laboureurs, des marchands-peigneurs, un charron, un tisserand, un aubergiste, un employé dans les fermes du Roy…
Du côté de sa grand-mère paternelle : Avec Emérence Euphroisine DUFFAUD (1892-1971), on s’éloigne vers le nord-est, avec des origines savoyardes dans deux zones distinctes : à une vingtaine de kilomètres d’Albertville, le long de la rivière de l’Isère (Val d’Arc, anciennement Randens, Grésy-sur-Isère et Aiton) pour ses ancêtres paternels, et plus à l’est, à Moutiers, Hautecour et Notre-Dame-du-Pré pour ses ancêtres maternels. La Savoie disparut en 1860, avalée par la France et l’Italie. Ces familles venaient donc d’un pays étranger à la France, même si l’on sait bien que les frontières étaient beaucoup plus poreuses dans le temps qu’aujourd’hui et qu’elles n’avaient pas forcément une grande signification pour les paysans qui bougeaient peu de leur village, notamment en région montagneuse.
Grand père maternel : Jean Edmond DURAND (1894-après 1945) et son épouse Thérèse Louise GOUBERT se sont mariés au Caire, en Egypte, Jean Edmond étant médecin militaire et affecté dans ce pays. Ils étaient cependant tous deux nés à Marseille, et ce n’est que plus tard dans leur vie qu’ils s’installèrent à Albertville. Par la branche paternelle de Jean Edmond, on trouve des ancêtres venus de l’Hérault et plus particulièrement, sur plusieurs générations, de Lansargues, à… mais aussi en Saône-et-Loire, près du Creusot, où était née la modiste Jeanne CAS (1831-1896), sa grand-mère. d’après https://www.geneanet.org/blog/post/2024/09/les-origines-familiales-de-michel-barnier
** Pour ceux qui ne veulent pas creuser la question des extrêmes : dans le petit livre rouge de Mao, il est dit « qu’il vaut mieux tuer un ennemi innocent, que de laisser en vie, un possible coupable ».
Ce qu’il a fait est pire, un journaliste du régime l’historien Yang Jisheng, longtemps aveugle au sujet du régime dans lequel il vivait, a mené une enquête sur place en recopiant des documents, d’après lequel a écrit le livre « Stéles », où il a estimé à 50 millions le nombre de victimes du régime entre 1949 et 1979 dont 35 millions de la famine., entre 1958 et 1961.
Toutes les études se recoupent : inégalée dans le monde par son ampleur, bouleversante par ses actes d’anthropophagie, et hautement criminelle car les campagnes ont été délibérément affamées par Mao Zedong. «Si nous laissons tous les paysans manger à leur faim, […] nous ne pourrons pas nous industrialiser, nous devrons réduire l’armée et ne pourrons bâtir une défense nationale», explique à l’époque un haut responsable du Parti. Cette politique machiavélique conduira la Chine directement en enfer. La grande famine reste aujourd’hui un tabou en Chine, où l’on parle officiellement, sans donner de bilan, de «trois années de catastrophes naturelles», afin de ne pas écorner l’image de Mao, qui sert toujours de légitimité au pouvoir en place. «Les gens se nourrissaient avec des racines glanées dans les collines, mais mon père n’avait plus la force de marcher. Il buvait de l’eau salée pour se nourrir et, quand il m’a vu, il s’est mis en colère : « Retourne immédiatement à l’école ! Ici, tu mourras de faim ! » Je lui ai laissé trois jours de rations de riz et je suis reparti.» «Il y avait encore en réserve 6 545 000 tonnes de céréales»,. : «A travers tout le pays, la population campait autour des greniers à céréales. Les gens criaient et imploraient : « Parti communiste, donne-nous un peu de nourriture. » Ils suppliaient à l’entrée des silos à grain, jusqu’à ce que la faim les achève.» : «Les empereurs des dynasties ouvraient les réserves et les distribuaient à la population en cas de catastrophes ou de pénuries. Mais la direction du Parti communiste, qui prétendait servir le peuple, a refusé de secourir la population.»«Dans la petite ville de Linxia [province du Gansu, à 800 km au nord de Chengdu], 588 personnes ont mangé 337 cadavres ; à Hongtai, 170 personnes en ont mangé 125, dont 5 tuées dans ce but. Il y eut des cas où des parents ont dévoré leurs enfants, des maris leurs femmes, des frères leurs sœurs.» Dans l’Anhui [à 450 km à l’ouest de Shanghai], «il arrivait que la viande [cuite, en général] se retrouve sur le marché». Les Chinois, dit Yang, sont alors des «esclaves» subissant le «système totalitaire». Rien qu’à Gushi [province du Henan, à 800 km à l’ouest de Shanghai, ndlr], 170 000 personnes meurent sur les chantiers hydrauliques du «Grand Bond».
La grande famine se met en place en 1958, quand Mao Zedong lance sa politique du «Grand Bond en avant». L’objectif : «Rattraper la production d’acier de la Grande-Bretagne en quinze ans.» Sur instruction du Parti, la population érige des millions de petits hauts fourneaux. Pratiquement tous les ustensiles de cuisine et outils agricoles sont fondus. Des dizaines de millions de paysans sont mobilisés pour rien, car le métal issu de ces creusets s’avère inutilisable. Dans le même temps, une collectivisation radicale est imposée avec les «communes populaires». Du jour au lendemain, la propriété privée est abolie et les villages sont transformés en «brigades de production». Les terres sont saisies par l’État, de même que les maisons, le , le matériel domestique, les tables, chaises, cochons, poules… A travers toute la Chine, les habitants, expulsés de leurs domiciles, sont regroupés en casernes où hommes, femmes et enfants sont séparés. L’objectif est de détruire la cellule familiale. La cuisine individuelle est interdite, tout le monde doit manger à la cantine collective, «la grande marmite». Les « mutins » étaient torturés comme au Moyen-âge.
Un chercheur pékinois, Yu Xiguang, place quant à lui la barre à 55 millions (sur une population d’environ 650 millions à l’époque). Correspondant à Pékin. L’historien Frank Dikötter, auteur de Mao’s Great Famine («la Grande Famine de Mao») , estime à 45 millions le nombre des victimes . La publication de Hungry Ghosts, du Britannique Jasper Becker, en 1996., a commencé à mettre à jour ce qu’il qualifie d’holocauste. Relatées par Libération avec diverses sources : article du 28/9/12 de Philippe Grangereau