Je demande d’avance pardon à tous les neptuniens qui sont nombreux à lire ce blog puisque l’imaginaire, le spirituel, l’inspiration, la médiumnité, la rêverie, la douceur, la création sont du domaine de Neptune.
Il suffit de regarder tous les thèmes des créateurs peintres, musiciens, chanteurs, artistes de cinéma pour le constater.
Le pendant de ce gisement de créativité intérieure devient vite une faiblesse, une blessure, une douleur, une souffrance. La solitude est le lot des neptuniens qui veulent le côtoyer.
Le neptunien est un locataire de maison XII : il ne se reconnaît jamais dans le monde pratique et concret dans lequel il faut lutter avec Mars pour survivre. Il devient vite le compagnon de Saturne, mais Saturne lui donne froid et il est vite très mal dans sa peau. Alors il prend des substances pour oublier, pour lutter, pour survivre.
Si l’on faisait des statistiques on verrait qu’il est le premier addict du zodiaque : l’addiction à une idéologie étant peut-être la plus évidente, mais pas forcément la pire. Pas forcément, mais quand même…
Le neptunien est en vie pour donner aux autres du rêve, pour étendre son influence sur les fragiles, les délicats, les sensibles, pour leur ouvrir les portes d’un monde meilleur, plus tendre et plus sensible. Pour créer, il faut chercher au fond de soi un monde différent de celui qu’on nous propose, en parlant à tous.
Le chemin est lent et difficile, mais pavé de belles rencontres parce que ce sont des rencontres gratuites, derrière il n’y a jamais le souci d’un rapport d’argent, à moins que le neptunien soit tombé dans la déchéance, et la dépendance de substances médicamenteuse ou autres. C’est la raison pour laquelle Verlaine, Rimbaud, Toulouse Lautrec, Van Ghog, Hergé, et tant d’autres artistes comme Gainsbourg sont devenus alcooliques, morphinomane, etc. Ils se suicident souvent de cette façon.
Le Neptunien apporte à l’autre des choses qu’ils ne comprendra pas forcément tout de suite : comme la tolérance, l’indifférence aux petits détails mesquins de l’existence, une grande capacité à supporter la douleur, et un calme en toute circonstance qui cache cependant une grande agitation intérieure.
Quoiqu’on en pense le neptunien travaille, même s’il parait perdu dans ses songes : il a juste son monde et il a besoin de s’y réfugier. Reprendre pied dans la vraie vie est pour lui difficile, car ce n’est pas la sienne.
Le neptunien ne fait pas semblant, il aime ou pas. Il fuit devant l’affrontement, et se tait. Celui qui veut se confronter avec lui ferait mieux de patienter, car il est capable de se refermer à double tours. Pour le convaincre, il vaudra mieux contourner les évidences qu’il ne voit pas, et patienter.
Tout est souvent flou dans sa tête, le bon le mal, la droite la gauche, le blanc le noir, le jour et la nuit : il y a beaucoup aquoibonisme, dans son comportement. Alors on juge « ces gens là sont fuyants, on ne sait jamais ce qu’ils pensent » : il y a beaucoup de procureurs dans la vraie vie ! Tant pis pour les agités, les hyperactifs, les sportifs, les démonstratifs. Ils les aiment bien, mais comme on regarde un poisson tourner dans son bocal et il les plaint intérieurement, des êtres comme Diana Spencer, duchesse de Galles, avec Neptune retro en Scorpion au MC sextil nœud nord et trigone Soleil-Mercure..
L’agressivité n’est pas dans l’ADN du neptunien. Il ne s’extériorise que dans le calme et la confiance alors, on le traite d’hypocrites, ou bien de fadas, comme Einstein.
Car les neptuniens sont souvent des génies dans leur genre, il faut savoir le voir, les exemples sont légions : alors laisser les respirer pour les apprivoiser !
Avec des angularités de planètes, des signes de feu, ce sont même des leaders, comme Lucie Baud qui fut la première femme syndicaliste française, des idéologues comme Luther, le réformiste, avec la conjonction Soleil Mercure Neptune Uranus dans un amas de planètes concentrées,