Stephen Hawking était un astrophysicien brillant et un homme remarquable. « Depuis son fauteuil, il caressait les étoiles et faisait le tour de l’univers par ses calculs. » Pourtant, son thème très difficile, aurait pu faire de lui un individu lambda.
Né le 8 janvier 1942, soit trois cents ans, jour pour jour, après la mort de Galilée, Stephen Hawking est mort, à l’âge de 76 ans, le 14 mars 2018, le jour de naissance d’Albert Einstein : un encadrement symbolique puissant pour cet astrophysicien qui aura consacré sa carrière à établir une théorie physique du tout, à tisser un lien entre relativité générale et mécanique quantique, via ses travaux sur les trous noirs, mais aussi sur le Big Bang et l’origine de l’univers. Stephen Hawking était aussi devenu une icône médiatique, image du pur esprit enfermé dans un corps malade ».
« Il était atteint de la maladie de Charcot* depuis l’âge de 22 ans, une maladie neurodégénérative paralysante qui détruisait son corps et qui l’avait rapidement contraint à se déplacer dans un fauteuil roulant puis à s’exprimer grâce à un synthétiseur vocal. Il a accédé au rang d’icône en 1988, après la publication de son livre de vulgarisation « Une brève histoire du temps ». On est admiratif devant la vie de courage de cet individu brillant, porté par ses idées, dans un corps démoli. Cet homme avait un message à communiquer à l’humanité, il a vécu pour cela, il a été porté par l’élan de ses recherches, et soutenu par l’amour de sa femme qu’il avait rencontré à l’université, et de sa famille.
Cet homme extraordinaire est une leçon de vie, car il n’ avait pas que des aspects de facilité dans son thème : être né en 1942, c’est naître en pleine guerre sous les bombes, et les aspects sont forcément en synchronicité avec ce qu’on va trouver chez les gens qui naissent durant cette période éprouvante.
Sa destinée fut marquée par le signe du Scorpion quasi entier dans la I, qui commence aussi la maison II et, avec la maison VIII, où l’on trouve Jupiter en conjonction avec la Lune noire en domicile de maison, indiquant une forte énergie, avec son Pluton et son Mars angulaire en domicile en Bélier, Mercure et Vénus opposé Pluton.
Vénus en III gouverneur de son AS Balance a aussi été un atout, il aimait plaire . La Balance est le signe du couple et il se maria deux fois. La chance d’avoir suscité l’ amour lui permis de faire face à l’adversité ; cette Vénus en Verseau est aussi symbole de l’astrophysique uranienne, source de son implication, de son intérêt pour les sciences du cosmos par l’intermédiaire de son trigone Vénus Verseau / AS.. Vénus revient vers Mars en sextil décroissant appliquant air- feu insufflant une vision de l’amour sublimé, inspirateur.Mais Mars angulaire en VII , attire l’ agressivité de sa part vis à vis des autres, et Mars carré Pluton apporte la violence donnée et subie
Du point de vue de la finalité, le noeud nord se trouvait conjoint à la Lune en secteur XI, indiquant qu’il vécut grâce aux femmes maternantes qui l’accompagnèrent tout au long de sa vie. Vénus en IV est conjointe à la part de chance : il se maria jeune étudiant le 14 Juillet 1965, et après que sa femme et lui se soient séparés après trente ans de mariage et trois enfants, se remaria tardivement avec son infirmière (contre l’avis de ses enfants) mais divorça à nouveau (Jupiter – la légalisation – en VIII conjointe Lilith :on peut imaginer qu’il y avait des affaires d’argent là-dessous).
Mercure (les déplacements) carré à Mars et à l’ascendant Balance, est opposée Pluton (la vocation en X). Mercure à 27° carré à Mars Bélier à 28° dans une opposition dissociée à Pluton Rétrograde à 5° en Lion au MC, renforçait l’obstination mais contribua à la destruction de son corps.
Il avait un grand carré, qui reliait AS, Mars DS, Pluton MC et Mercure FC, une croix d’incarnation à moitié en signes cardinaux, et à moitié en signes fixes, alliant l’esprit d’entreprise et, la concrétisation ambitieuse.
Par le jeu des bons aspects d’un Soleil et d’un Mercure en Capricorne géré par un Saturne angulaire en Taureau en trigone, il a tenté de dominer sa maladie typiquement Capricorne*, imaginant des techniques pour communiquer, s’adaptant malgré tout, au fur et à mesure de sa dégradation physique. L’ex-mari de sa seconde épouse fut celui qui réalisa pour lui l’ordinateur avec lequel il communiquait.
On est attiré en regardant son thème astral, par une pyramide de grands trigones reliant des conjonctions dans les signes de terre, grands trigones qui sont source de concrétisation, les conjonctions formant trigones sont Lune et Neptune trigones Saturne-Uranus, trigones vers Soleil et Mercure, très longues à énumérer, qui soutiennent l’invention, l’intuition et la concrétisation bien structurée.
Son Mercure, la tour de contrôle du mental est Épiméthée direct, après le Soleil, un raisonnement basé sur ce qui existe. Comme il s’agit d’un découvreur, on va voir à quel moment se situe la phase de Mercure ; Mercure avant sa naissance venait juste de faire une conjonction supérieure avec le Soleil dans le signe du Sagittaire à 29°45, le 29 décembre 1941. Le Sagittaire est le signe de l’ailleurs et des études supérieures, de même que des grands espaces. Cette conjonction supérieure dont Mercure est issue, est considérée par Ruperti comme une sorte de pleine Lune de Mercure – illumination – par rapport au Soleil, Mercure avait fait le parcours pour en arriver là, pour arriver dans la terre de labour du Capricorne. Il a souvent été nommé pour le prix Nobel et aurait dû l’obtenir. La part de chance en Verseau était carrée à son maitre Uranus, et à Saturne.
Je ne suis pas qualifiée pour juger de son travail, mais si j’ai bien compris en regardant le film sur sa vie, il a commencé en améliorant le travail de son propre professeur, dès le début de son cursus d’étudiant à Oxford. C’est bien le rôle d’un Mercure Épiméthée. Il a repris des travaux existants pour les analyser et il a découvert autre chose à partir de là. Il n’a pas inaugurer un champ nouveau de recherches, et en faisant cela il s’est fait des adversaires (Mars en VII). Son livre de vulgarisation « une brève histoire du temps », montre qu’il voulait se mettre à la portée du public le plus vaste : Soleil et Mercure en maison III.
On a vu dans les articles sur Neptune que les créateurs avait toujours cette planète bien placée , pas seulement les artistes mais aussi les découvreurs, car l’inspiration est au cœur des inventions ; Neptune à 29° en conjonction avec la Lune 19° se trouvant dans le secteur XI – dédié aux projets en Vierge, signe mercurien , s’épanouit par son mental.
Mars en Bélier à 28° en secteur VII, a surement contribué à cette énorme énergie, à son courage, mais il s’est fait des opposants;
Jupiter rétrograde en Gémeaux en secteur VIII, conjoint lune noire, toutes deux carrés avec la Lune , indiquent des problèmes d’argent avec ses épouses, et montre qu’il n’a pas été apprécié à sa juste valeur puisqu’il n’a jamais eu le prix Nobel, qui aurait été la juste récompense du prix de ses découvertes. La seconde était certainement très intéressée par son argent.
On a dit qu’en anglais, Hawking, dans la langue des oiseaux donne « king of awe », roi de la crainte : on peut penser que toute sa vie il a craint de ne pouvoir finir la tâche qu’il s’était assigné à Oxford. (sources franceculture.fr , Huftington post, photos fig mag).
*Le signe du Capricorne a souvent des problèmes de sclérose, d’usure, c’est le signe des os de la colonne vertébrale, de ce fait de limites dans les déplacements : ces observations remontent à Hyppocrate