La dernière Nouvelle Lune de l’année, sans surprise, nous apporte peu de réconfort au niveau des aspects des planètes, mais plein d’illusions.On a en outre une éclipse totale du Soleil dans hémisphère sud. Pour les sagittaires des degrés 22, 24, 24, il vaut mieux noter ce degré, pour voir ce qui se passera chez eux dans les mois qui viennent. C’est la vie privée qui prend le dessus avec le Lune en valeur.
On voit toujours Neptune carré à l’axe nodal, avec la Nouvelle Lune au nœud sud, plus Mercure en Sagittaire, situé dans la maison VI , d’un thème pour Paris, l’ascendant, se situant entre le signe des Gémeaux et du Cancer (29°57) : on est donc entre le relationnel , la communication de proximité et la famille : c’est bien le thème de ces quinze derniers jours de l’année, où l’on se réunit entre soi, et en famille et, où l’on a un manque de visibilité au niveau des interactions socioculturelles et sportives.
On lit, on entend des rumeurs de toutes sortes auxquelles certains croient plus qu’en la parole des représentants élus, chargés de notre santé tant français qu’européens. C’est le règne du complot.
A qui profite le concept de complot ? Aux ennemis de l’Europe qui se débat contre ce fléau, aux extrémistes de tous bords : à qui d’autre ? Sans être naïfs, exerçons notre jugement critique, contre les idées véhiculées qui pourrissent l’ambiance de nos vies, déjà bien polluées.
Donald Trump aux Etats-Unis, en joue plus que tout autre, assuré qu’il va encore gagner : on est bien dans un combat de géants qui tiennent la destinée de la planète entre leurs mains. Rappelez-vous les paroles de la chanson de Michel Sardou « Si les ricains n’étaient pas là… »
Les trois ténors, (Jupiter-Pluton-Saturne) en limite de Capricorne, se situent dans la maison VIII en Verseau maîtrisé par Uranus conjoint Lune noire en Taureau, ce choc des titans dont je parle depuis le mois de Mars, avec Vénus limite Scorpion en sextil, apporte des réactions de rebellions et sa cohorte de deuils et de faillites dans la société européenne et mondiale : 20% des plus pauvres sont plus pauvres mais 20% des plus riches le sont encore plus !
Les planètes se situent sur 180° en comptant l’axe nodal, formant un bol dans lequel Vénus est la planète singletone , solitaire hors du bol, en Scorpion, où elle est en exil donnant l’ambiance lourde : on réclame de la culture, de l’amitié, de la convivialité et de l’argent en cette période de Noël, mais c’est un Noël de guerre contre le virus ! Pourtant, en face en Taureau, Uranus conjointe Lune noire s’éloigne de l’opposition à Vénus, ce qui est déjà un début d’amélioration dans la vie affective.
Mais prenons garde à cet aspect pseudo positif du sextil Mars- nœud nord, avec Mars au sommet d’un triangle rectangle qui parait apporter son appui, car encore sous l’influence de la lune noire, celle-ci amène sa moisson de désillusions et surtout son ressenti de manque, de vide, de déprime : ne cédons pas au désespoir, nous passons un test avec nous-même.
C’est toute l’ambiguïté de la situation actuelle, faite d’envie d’agir, du désir de vivre !
Mais je rappelle pour ceux qui ne le connaissent pas la pyramide de Maslow , psychiatre américain, un des fondateurs de la psychologie cognitive, que les besoins sont de cinq sortes : les premiers sont les besoins physiologiques, puis vient le besoin de sécurité, ensuite le besoin d’appartenance, le besoin d’estime, et en dernier le besoin de s’accomplir. C’est critiquable, on peut inverser certains besoins comme le 4 et le 5, mais les trois premiers sont intrinsèques à notre condition d’homo sapiens, non dépourvu d’animalité, le peuple de Descartes n’en est pas exclu, même s’il se croit supérieur à l’humanité entière : la culture fait donc partie de la catégorie 4 et 5, quoiqu’on en dise sur les plateaux télé.