Il y a cent ans quand Pluton était en Cancer, il a permis aux femmes d’accéder à des responsabilités auparavant occupées par les hommes, la polarité était en Capricorne : les mouvements politiques mis en place à ce moment là, entrainèrent les conditions de cet événement, mais ensuite les dirigeants s’empressèrent de renvoyer les femmes à la maison, afin de redonner du travail aux hommes valides dès que la paix revint : en France, pays de l’égalité , elles n’eurent même pas le droit de vote.
Actuellement, nous sommes dans le même mouvement de bascule puisque le point de polarité se fait maintenant en Cancer, dans le sens inverse, ce qui fait dire que c’est l’avènement du féminin, mais un féminin qui on le voit, est encore obligé de passer par des actions viriles, puisque les hommes ne comprennent que la force : mages de femme militaire peshmerga, femmes françaises dans les usines, femme érythréenne en sous alimentation, femen qui protestent contre les violences faites aux femmes.
En fait, même si la guerre est la cause de souffrances énormes, on constate que les déplacements de populations confrontent les cultures , non pas pour les opposer, car le sens de tout cela est une harmonisation par des revendications de justice pour toutes. C’est peut-être la raison pour laquelle on assiste à ces affrontements qui mettant enjeu sur le statut des femmes.
La recherche du vivre ensemble pose la question de la place et du respect de la femme dans toutes les sociétés, et pas seulement dans la société occidentale où comme ailleurs , sévit maltraitance, inceste, viols et assassinat.
Après être passé en Poissons (Neptune est son désir de perfection globale) , Chiron est en Bélier , là c’est Mars qui l’accompagne ; nous avons donc affaire à Chiron, le guerrier pour la durée de huit ans, tandis qu’Uranus est en Taureau pour sept ans. L’une et l’autre des planètes vont pousser les limites entre Vénus et Mars !
N’est ce pas une bataille à laquelle se livrent des hommes et femmes des métiers de soins ? Depuis le début du covid 19 , nous voyons infirmières, aides soignantes, et docteurs et doctoresses se battre au coude à coude jusqu’à épuisement de leur force, dans une parfaite égalité, or depuis deux ans, les soignantes réclament de meilleures conditions de salaires, un meilleur statut, sans oublier les sages – femmes qui actuellement continuent de mettre des bébés au monde, mais qui seront mises de côté, comme sont toujours mis les soldats du feu à qui on distribue quelques médailles, si ce n’est qu’on leur retire leurs galons pour quelques raisons obscures, dès que l’alerte sera levée.