La médecine « officielle » ne tient pas encore compte de la somatologie (excepté en homéopathie et en acupunture à peine toléré par la médecine française). Cependant, certains médecins et soignants reconnaissent le bien fondé de cette pratique.
La somatologie rend à la vox populis toute sa valeur, en effet, tout le monde sait que les personnes qui souffrent physiquement ont eu à un moment donné un choc (dont elles ne se rappellent pas toujours consciemment) à la base d’une maladie grave : « cet enfant me fera mourir », « j’ai perdu pied à la mort de mon mari », « je n’ai pas pu avalé cette nouvelle », « j’ai ressenti un coup de poignard dans l’estomac », etc. Toutes ces façons de s’exprimer traduisent à un moment un choc, qui n’est pas passé, même si le cerveau a fait son travail de refoulement pour qu’on puisse continuer à survivre.
Voici comment le fondateur de la somatologie, le Dr Hamer*, est arrivé à cette conclusion, qu’un choc ou qu’une suite de petits chocs déclenchaient une maladie en relation avec la partie du corps en lien avec la partie du cerveau concernée.
« Ce médecin allemand découvre en 1979 que son cancer testiculaire a suivi le choc de l’assassinat inattendu de son fils Dirk, alors âgé de dix-neuf ans.
Il examine 170 dossiers de patients et découvre qu’ils ont tous vécu un choc émotif important avant l’apparition de leur cancer.
Il a poursuivi ses recherches sur plus de 15.000 cas et a découvert que
– Toute maladie du cancer débute par un DHS (Dirk Hamer Syndrom), c’est-à-dire, un choc conflictuel extrêmement brutal, dramatique et vécu dans l’isolement, qui provoque au cerveau un foyer de Hamer soit le démarrage du cancer dans l’organe.
– A l’instant du choc la teneur du conflit détermine aussi bien la localisation du foyer de Hamer au cerveau que la localisation de la tumeur cancéreuse dans l’organe.
– A partir du choc, il y a corrélation entre l’évolution du conflit, celle de la modification du foyer de Hamer au cerveau et celle de la tumeur cancéreuse dans l’organe.
Par conflit, le docteur Hamer mentionne, non pas un conflit de type psychologique, au sens psychiatrique, mais un conflit biologique. Sa définition du conflit s’adresse aussi bien à l’animal, à l’homme qu’au végétal.
Il s’agit donc d’un choc qui arrive à l’improviste et qui touche d’abord l’organisme et seulement ensuite le psychique qui, lui, le colore à sa manière.
Lorsqu’il mentionne qu’un cancer du sein gauche, chez une droitière non ménopausée, est provoqué par un DHS-choc mère/enfant, il mentionne la façon dont a été vécu le conflit.
Ainsi, si la patiente a eu un conflit avec son mari et qu’elle considère ce dernier comme un enfant, la coloration est celle du DHS-choc mère/enfant.
Un autre exemple, une femme qui, d’une manière imprévue, surprend son époux en flagrant délit d’adultère ne va pas forcément vivre un DHS-choc sexuel et développer un carcinome du col utérin. Elle peut vivre ce drame comme un profond sentiment de dévalorisation et développer un cancer des os du bassin ou vivre cela comme une trahison et développer un cancer du sein droit (une blessure plus profonde, plus intériorisée, se traduira par un cancer de la plèvre droite.
Si elle est ménopausée (donc hormonalement masculine) et qu’elle vit ce drame comme un conflit de territoire, elle pourra développer un carcinome bronchique. Si elle ressent cela plutôt comme une « cochonnerie », elle développera un carcinome de la vessie. Si elle se sent souillée, se sera un cancer de la peau, etc… »
Ici, il parle du cancer, mais toute autre maladie est en rapport avec un choc ou des chocs successifs. Ceci, nous le verront avec le docteur Salomon Sellam, qui en France à vraiment mis cette pratique au point avec d’autres docteurs, comme le docteur Gérard Athias, ou aux USA, le docteur Deepack Chopra qui a appris aux Indes la médecine ayurvédique.
*il va sans dire que ces découvreurs ont été traités de charlatans, alors qu’ils n’empiètent pas sur la médecine officielle mais ne font que l’accompagner.